Les carences en vitamine D peuvent être à l’origine de décalcifications osseuses, rachitisme, troubles de l’excitabilité neuromusculaire, tétanie, spasmophilie… Avec l’âge, et aussi la ménopause, la carence en vitamine D favorise l’ostéoporose.
La vitamine D est liposoluble et se dissout donc dans les graisses, pas dans l’eau. Principalement, elle régule le métabolisme du calcium et du phosphore : absorption au niveau intestinal, fixation osseuse, niveau sanguin et élimination rénale… Ces minéraux sont utiles pour une bonne minéralisation des os, cartilage, dents, etc… D’autre part leur concentration sanguine intervient dans de nombreux métabolisme, et en particulier neuromusculaires.
Ce n’est que depuis une vingtaine d’année que l’on a compris les rôles multiples du cholécalciférol au niveau des cellules de notre corps. Ils dépassent le métabolisme du calcium que l’on connaissait jusque là. La vitamine D intervient aussi dans :
- les défenses immunitaires,
- la pression artérielle,
- la protection des neurones,
- la production d’insuline…
L’alimentation pourrait couvrir un tiers des besoins mais c’est notre peau qui en fabrique la plus grande partie lorsqu’elle est exposée à la lumière du jour.
Peu d’aliments contiennent des quantités importantes de vitamine D. Ce sont essentiellement des aliments riches en matières grasses tels que les poissons de mer gras (la fameuse huile de foie de morue). On trouve aussi la vitamine D en faible quantité dans les viandes, abats, champignons…
Des études plus récentes montrent qu’un bon taux vitamine D diminuerait le risque de certains cancers et de maladies cardiovasculaires. D’autres soulignent qu’elle aurait un rôle dans la prévention du diabète et de maladies auto-immunes.
Dans certains pays peu ensoleillés, Belgique, Canada…, le manque de vitamine D toucherait près de 90% de la population.
L’OMS et le Centre International de Recherche contre le Cancer reconnaissent que le lien entre risque de cancer colorectal et la carence en vitamine D est bien documenté par de nombreuses études.
Beaucoup d’études ont démontré que des taux sanguins suffisamment hauts de vitamine D réduisaient le risque de cancer colorectal mais aussi du sein, prostate… De même, une étude américaine du National Cancer Institute montre que les populations vivant dans les zones plus ensoleillées présenteraient moins de risque de cancer de la prostate et du sein que les autres.
Une autre étude a d’ailleurs démontré que la prise de 1100 UI de vitamine D par jour pendant 4 ans a réduit le risque de cancer chez 1180 femmes ménopausées.
Sans oublier que des études montrent que les risques de démence sénile et d’Alzheimer sont plus importants chez les personnes carencées en vitamine D. Une visite dans notre DailyPharma à Paris permettra de découvrir notre sélection de vitamine D sous différentes formes –